Portraits de Résistance

Mémorial de Caen
Par défaut

Ils nous avaient volé la Liberté et l’Égalité, ils n’avaient pas pu interdire la Fraternité.  Lucie Aubrac

Quelques portraits de combattantes et combattants de la Résistance de la région sont présentés ici par ordre alphabétique.
Régulièrement enrichie, vous pouvez contacter le Mémorial pour compléter cette page.

 

 

 

 


ACHIARY Hentiette coll DLHenriette ACHIARY

Elle combattait dans l’ombre dans les rangs de la résistance socialiste aux côtés de son mari qui avait transformé son bureau de la Maison de la Mutualité, en Quartier Général des résistants regroupés autour de Raymond Naves. Traqué par la Gestapo, le couple a du fuir à Pris en vain. Les services allemands les ont retrouvés. On a jamais revu Henriette Achiary.


 

07_41Pierre BERTAUX

Brillant universitaire, Bertaux est nommé à Toulouse en 1938 comme professeur d’allemand. Il participe aux côtés de Silvio Trentin aux actions en faveur des Espagnols. En 1941, il créé le premier réseau de résistance à Toulouse, le réseau Bertaux.

 


BET ROSINARosine BET dite Paulette Cavérac

D’origine italienne, elle rejoint les FTP-MOI du Lot et Garonne. Rosine est tuée dans une opération contre la propagande allemande avec ses deux camarades, Enzo Godéas et David Freiman en mars 1944.

 


CAROVISAlbert CAROVIS dit Jean

Albert Carovis fut le « patron » de la Résistance civile à la Libération. Dès 1940, il avait réagi au régime de Vichy. Il réunit autour de lui un groupe d’amis qui se structure et devient progressivement l’un des maquis les plus actifs et les mieux organisés de la Haute Garonne.

 

 

cassou

Jean CASSOU dit Alain

Ecrivain et poète aux origines béarnaise et andalouse, c’est un intellectuel de la génération d’Aragon, Eluard ou Sartre. Engagé dans le combat contre les fascistes dès 1940 à Paris , il est poursuivi par la police et se réfugie à Toulouse. Homme au charisme incontestable, forçant le respect, De Gaulle le choisit pour incarner son autorité dans la région toulousaine après la Libération.

 




chaubetJean CHAUBET

Instituteur, il est révoqué par Vichy en raison de ses opinions politiques et philosophiques. Il se consacre dès 1940 à la création d’un groupe de résistance qu’il développe progressivement au contact des autres organisations.Jean Chaubet a été l’un des membres fondateurs des Mouvements Unis de Résistance aux côtés de François Verdier et Raymond Naves.


 

img004Yvonne-Lucienne CURVALE (1903-1962)

Elle s’engage dans la Résistance dès 1940 puis intègre le Mouvement Libération-Sud en octobre 1941. Responsable du « service social », elle devient agent de renseignement et participe au noyautage des administrations publiques (NAP). Elle rejoint ensuite le réseau d’évasion Gallia où, en plus de la diffusion de la presse clandestine, du renseignement et des liaisons, elle s’occupe des évadés. Dénoncée, elle est arrêtée chez elle dans la nuit du 13 au 14 décembre 1943, par la Gestapo au cours de ce que la police allemande appela « l’opération de minuit ». Internée à la prison Saint Michel, elle est déportée via Compiègne au camp de Ravensbrück. Elle fut libérée le 10 avril 1945 par les troupes américaines


19400522_Fiançailles detailAngèle DEL RIO BETTINI

Du haut de ses 18 ans passionnés, elle a participé, aux cotés de son fiancé Yves, à la première action de la Résistance à Toulouse le 5 novembre 1940. Elle l’a payé cher, jugement d’un tribunal militaire, déchéance de nationalité et internement pendant 4 ans.

 


 

 

dideMaurice DIDE

Spécialiste en psychiatrie de renommée internationale, haut fonctionnaire à la retraite, le docteur Maurice Dide ose se rebeller et s’engager dans le combat clandestin. Des évasions par les Pyrénées au sabotage minutieux des services de l’administration vichyste, dont il organisait le noyautage, Maurice Dide s’investit sans compter dans le combat de la Résistance. Courageux, il le fut jusque dans la boue du camp de concentration de Buchenwald.

 

 


 

DISSART M.Louise

Marie-Louise DISSARD dite Françoise

Une femme à la personnalité exceptionnelle, Françoise a su réorganiser un réseau d’évasion sur l’ensemble de la région.

 

 


FiksmanAriane Scriabine Fiksman Sarah, Régine

D’origine russe, exilée à Paris, Ariane est une artiste et une poétesse à la personnalité exacerbée. En mai 1940, elle se convertit au judaïsme et engage des premières actions pour alerter l’opinion publique juive avec son mari, le poète David Knout Fiksman. Installés à Toulouse, le couple met en place une organisation juive de combat…

FONVIEILLE M portrait offMaurice Fonvieille

Instituteur, militant socialiste et franc-maçon, il a le sens de l’engagement chevillé au corps. Il rejoint le mouvement Libérer et Fédérer et en devient un chef régional avant d’être arrêté par la Gestapo en février 1944.

 

 

 


Boris Frenkel-BoursierBoris FRENKEL , 35 005

Étudiant en lettres, juif et communiste, il rejoint la 35e Brigade FTP-MOI. Il fut l’un des membres les plus actifs de la brigade, et c’est lui qui venge la mort de son chef Marcel Langer en abattant un soldat allemand rue Bayard. Arrêté en août 1943, il est condamné par la justice française qui le livre aux Allemands. Il meurt au camp de Mauthausen en mars 1945.


Léo Hamard

Léon HAMARD dit Léo

Originaire de Lorraine, Léo Hamard était policier à la 8ème brigade de sûreté. Proche du résistant Jacques Combatalade, il intégre le réseau Morhange aux côtés de Marcel Taillandier. Il est arrêté par la Gestapo le 11 juillet 1944 en même temps que Morhange. Léon Hamard meurt sous la torture. Son corps a été retrouvé après la libération, enterré dans le jardin de la villa occupée par la police nazie.

 


 

Jacob Insel Collection ADHG

Jacob INSEL dit Jacques

Proche de Marcel Langer, Jacob Insel, Polonais, a connu l’exil en Palestine, puis en France, la Guerre d’Espagne et les Brigades internationales. A la mort de Langer, Jacob Insel devient le responsable militaire de la 35 ème Brigade, avant d’être arrêté et déporté dans le « Train fantôme ».


 

Février 1943 C. ADHG

Mendel LANGER dit Marcel

Polonais, exilé en Palestine, puis en France, combattant des Brigades Internationales en Espagne, Mendel Langer est le fondateur de la 35ème Brigade FTP-MOI. Il fut le seul résistant guillotiné à Toulouse.

 


 

LAUTMAN AlbertAlbert LAUTMAN dit Langeais

Philosophe des mathématiques, ami de Cavaillès, Albert Lautman est fait prisonnier en 1940. Évadé, il rejoint Toulouse et s’engage aux réseaux d’évasion Pat’O Leary et Françoise. Il est arrêté en mai 1944 et déporté dans le convoi du « Train fantôme ». Les nazis l’exécutent près de Bordeaux.

 

 


LION

Henri LION

Maître-Imprimeur, Henri Lion et son frère Raoul avaient chacun un atelier. Libertaires, les frères Lion ont mis leurs presses au service de toute la Résistance. Des faux-papiers aux journaux clandestins, les imprimeries oeuvraient pour toute la région. Dénoncés et piégés par la Gestapo, les frères Lion, d’autres résistants et tout le personnel furent arrêtés et déportés.


 

NAVESRaymond NAVES dit Leverrier, Granger

Professeur, il entre dans le combat clandestin aux côtés des ses étudiants avant de prendre la tête de l’organisation militaire de la Résistance dans la région. Chef charismatique du Parti socialiste clandestin, il avait été choisi pour être le Maire de Toulouse après la victoire. Malgré le danger, Raymond Naves refuse d’abandonner ses élèves et continue d’enseigner. Arrêté sur le chemin de la Faculté de Lettres par la Gestapo, il meurt à Auschwitz en mai 1944.

 


NITTI F FranciscoFrancisco Fausto NITTI

Journaliste dans l’Italie fasciste de Mussolini, il est arrêté en 1926 et interné dans une île au large de la Sicile. plus de 10 ans plus tard, réfugié en France, la République espagnole est en difficulté, il quitte tout pour rejoindre les Brigades internationales. Après la Retirada et les camps sur la plage, il rejoint Toulouse et Silvio Trentin pour résister encore. Il est arrêté et déporté en juillet 1944 dans le sinistre convoi du Train fantôme pour Dachau. Son récit « Chevaux 8, hommes 70 » est un témoignage précis de ce que fut l’enfer de la déportation, et en particulier de ce convoi.

 

 


 

PELISSIER Louis CapitaineLouis PELISSIER dit Carton

Droit et courageux, le capitiane d’infanterie Louis Pélissier sert sa patrie clandestinement en devenant l’organisateur d’une armée de l’ombre: l’Armée Secrète. Présent sur le terrain, déguisé en gendarme ou la pelle à la main pour camoufler des armes, Louis Pélissier a constamment bravé le danger. Il est fusillé par les Allemands, deux jours après le débarquement en Normandie, sur la place d’un petit village du Lot en juin 1944.

 


 

phillipe museeJean PHILLIPE dit Basset

Commissaire de police, Jean Phillipe démissionne en écrivant à sa hiérarchie : «  je refuse … de persécuter des israélites qui , à mon avis, ont droit au bonheur et à la vie, aussi bien que Monsieur Laval lui-même ». Chef régional du réseau Alliance, il est capturé par les Allemands et fusillé le 1er  avril 44, à Fribourg avec 14 membres de son réseau.


Francisco Ponzan Vidal, passeur de 33 ans, arrêté en avril 1943.

.

Francisco PONZAN dit Vidal

Républicain espagnol, anarchiste, cet instituteur s’engage dans la résistance française. Il devient un passeur exceptionnel et rejoint le réseau Françoise. Il est arrêté en avril 1943 et exécuté à Buzet sur Tarn quelques jours avant la Libération.


 

 

conchitaConchita RAMOS GRANGE

Âgée de 18 ans, Conchita dont la famille était espagnole, rejoint la Résistance et devient une agent de liaison très efficace pour les maquis d’Ariège. Elle est arrêtée en mai 1944 et transférée à la prison saint-Michel de Toulouse. Elle est déportée avec 800 autres personnes, en majorité des résistants, dans le convoi dit du Train Fantôme. Ce dernier, parti de Toulouse le 3 juillet 1944 est arrivé au camp d’extermination de Dachau le 28 août 1944. Conchita, transférée à Ravensbrück,  est revenue des camps de la mort et a témoigné auprès de très nombreuses générations d’élèves.


 

 

 

Serge Ravanel en septembre 1944. Jean Dieuzaide

Serge RAVANEL

Résistant du mouvement Libération-Sud, il organise la lutte armée aux cotés du couple Aubrac. Il rejoint Toulouse pour y créer les FFI (Forces françaises de l’Intérieur) comme chef régional. Serge Ravanel est l’un des artisans de la Libération de Toulouse  le 19 août 1944.


saliege portrait cdll


 

 

Jules Géraud Saliège

« Les juifs sont des hommes, les juives sont des femmes. Les étrangers sont des hommes, les étrangères sont des femmes. Tout n’est pas permis contre ces hommes, contre ces femmes »

La lettre du 23 août 1942 écrite par l’archevêque est l’une des rares manifestations du haut clergé en France sous l’Occupation et eut un retentissement international.


 

 

 

p52-53_SEGUY Georges bis

Georges SEGUY

Jeune apprenti de 15 ans, Georges travaille dans l’imprimerie de la Résistance, celle d’Henri Lion. Il est arrêté en février 1944 avec son patron, et déporté avec l’ensemble du personnel.


 

SOULA Camille 1888-1963Camille SOULA

Camille Soula est une personnalité toulousaine charismatique, pleine d’humour et d’énergie, profondément humaniste, précurseur en bien des domaines, de la recherche pharmaceutique, aux sciences de l’ergonomie, de la poésie ou de la peinture à la résistance. Professeur de physiologie à la faculté de médecine, il organise avec ses collègues de la faculté l’aide aux réfugiés espagnols en 1939. Proche de Silvio Trentin et assidu de sa librairie, il participe à la création du Mouvement de Résistance « Libérer et Fédérer » et à la rédaction de son journal.


 

TAILLANDIERMarcel TAILLANDIER dit Ricardo, Morhange

Marcel Taillandier était le chef d’un réseau de Résistance hors norme : le réseau Morhange.

Infiltrés dans les milieux nazis et fascistes, les résistants réunis autour de Morhange prirent des risques extrêmes pour informer et protéger la Résistance. Marcel Taillandier est un véritable Professionnel de la clandestinité et du contre-espionnage. L’expression « guerre de l’ombre » qualifie pleinement son action face à la Gestapo toulousaine.


 

portrait BM44Silvio TRENTIN

Exilé italien, Silvio Trentin insuffla une forme de Résistance exceptionnelle sur Toulouse.

 


 

francois-verdier-portraitFrançois VERDIER dit Forain

Chef régional de la Résistance, François Verdier a bâti une armature qui a conduit à la Libération. Il fut le premier à être désigné Commissaire de la République

 

 


 

 

Vernant JP 1944Jean-Pierre VERNANT dit Berthier

 Jean-Pierre Vernant fut l’artisan de la Libération de Toulouse aux côtés de Serge Ravanel. Professeur de philosophie le jour, il était dans l’ombre le chef de l’Armée secrète en Haute-Garonne.

 

 


viadieuAchille VIADIEU dit Ginou

 La tourmente des années noires révèle parfois quelques destins exceptionnels. La vie d’Achille Viadieu est, en apparence, celle d’un homme tranquille. C’est en réalité une double vie extrêmement dangereuse que mène celui qui est officiellement un responsable régional de premier rang  d’un parti politique fasciste et ultra- collaborationniste. Achille Viadieu était en réalité “X-2” l’adjoint de Morhange. Intégré au coeur du dispositif nazi et vichyste, ce chef de la collaboration récupérait, au péril de sa vie, des informations capitales pour la Résistance.

Hommage aux combattants de la 35ème Brigade FTP-MOI

27-mai
Par défaut

JOURNÉE NATIONALE DE LA RESISTANCE

LA MUNICIPALITÉ DE L’UNION EN PARTENARIAT AVEC LE MÉMORIAL FORAIN FRANÇOIS VERDIER VOUS CONVIE :

 

16h : Conférence animée par l’historienne Elerika Leroy au cinéma Le Lumière

 

« La guerre à L’Union, histoire de celles et ceux qui organisèrent la Résistance en gare de Loubers : la 35ème brigade FTP-MOI Marcel Langer. »

Illustrée par les témoignages de ces résistants issus du film de Mosco Boucault « Ni travail, ni famille, ni patrie », cette conférence vous invite à découvrir les membres de la 35ème Brigade, groupe actif de Résistance. Parmi eux Schimmel Gold, alias Charles Michalak, qui préparait dans son atelier les actions contre les Nazis, tout en cultivant son jardin à la gare de Loubers.

 

18h : Cérémonie d’hommage place San Biagio face à la plaque à la mémoire de la 35ème brigade.

Exposition : Objets en scène, scènes d’histoire

musee 03 20171
Par défaut

Du 30 janvier au 1er septembre 2017

« Une exposition familiale et participative »

Face à vous, 8 objets tels qu’ils étaient, mais comme vous ne les avez jamais vus ! Une plaque de rue « avenue du mmusee 03 2017aréchal Pétain » inaugurée dans une ville (à Toulouse, elle fut remplacée en août 1944 par les allées Forain François Verdier!), un poste radio dans le salon d’une famille toulousaine, un brassard porté par un maquisard à la Libération, une bombe fabriquée dans une plaque par des résistants, le magazine Marie-Claire feuilleté devant une épicerie… Facile alors de comprendre ce que nous racontent ces objets !

Donnés par des particuliers, ces 8 documents sont très différents. Certains sont incontournables; d’autres plus surprenants ne semblent pas avoir un intérêt historique évident. Détrompez-vous ! Tous contribuent à l’écriture de l’Histoire de la seconde guerre mondiale. Tous font progresser la connaissance, rétablissent des vérités, combattent les clichés. Leur valeur est inestimable. Ce sont des biens précieux et notre patrimoine !

Venez écrire l’histoire de la Résistance: entrez dans chaque « scène d’histoire », parcourez-la, imaginez les bruits, l’atmosphère, l’agitation des personnages. Approchez-vous d’un de ces 8 « objets en scène » et repérez-le dans son décor reconstitué. Comme l’historien, soyez attentif à toutes les informations qu’il nous livre. Qui l’a écrit ? Quand ? À quoi musee 02 2017servait-il ?


Animations et visites gratuites tout public

– Des visites pédagogiques sont proposées aux classes du CM2 à la Terminale.
– Des visites commentées, des conférences et des ateliers pratiques pour tous les âges seront programmés pendant les vacances scolaires et durant l’été.
– Les groupes composés de plus de 10 personnes peuvent aussi réserver des visites.

Hommage aux résistants de la centrale d’Eysses

Eysses: Blocks  
Musée de la Résistance en ligne
Par défaut

 

73 ème commémoration de l’insurrection de la centrale d’Eysses en février 1944

Le 19 février 1944, les détenus de la centrale d’Eysses, majoritairement des résistants, déclenchèrent un plan d’évasion générale, une opération qui visait à permettre à l’ensemble des prisonniers de s’échapper. A l’issue de cette opération unique sous l’Occupation, la répression du régime de Vichy fut terrible.  Douze détenus furent fusillés le 23 février 1944 après un procès expéditif de la  cour martiale du régime de Vichy. Tandis que 1121 autres furent livrés aux Allemands par l’État français et déportés au camp de Dachau.

Cette commémoration sera marquée par un geste fort et symbolique: de la terre du camp d’extermination de Dachau sera déposée par un ancien déporté et le consul général d’Allemagne

 

Déroulé

SAMEDI 25 FEVRIER

– 13H30 :  accueil des participants, à la Maison de la vie associative, 54 rue de Coquard à Villeneuve-sur-Lot

– 13H45 : Assemblée Générale de l’Association nationale d’Eysses (ouverte à tous les participants à la commémoration)

– 16H45 : Gare de Penne d’Agenais, regroupement devant le wagon du souvenir, visite de la salle qui accueillera prochainement le Pôle de mémoire, dépôts de  gerbes devant le monument des Résistants d’Eysses

– 18h : dépôt de gerbes devant la stèle des fusillés et des déportés, au cimetière Sainte Catherine

– 18H30 : dépôt de gerbes devant la stèle du Théâtre

– 18h45 : Maison de la Vie associative  – spectacle par la compagnie Théâtre Terrain Vague, avec Katia Geins (comédienne) et Emilie Cadiou (accordéonniste) : première création publique, en lecture théâtralisée, de la pièce des résistants d’Eysses : « France d’Abord » et du Chant d’Eysses « Debout » par la chorale FASILA Chanter  –  entrée libre—durée : environ 45 mn

 

DIMANCHE 26 FEVRIER

– 9h45 : rassemblement devant le théâtre puis départ en autocar

– 9h50 : rassemblement Place d’Aquitaine, puis cérémonie Place de la révolution devant le Monument à la mémoire des martyrs de février 44—dépôt de gerbes, puis départ pour le centre détention

– 10H30 : rassemblement devant la porte d’entrée de la prison  – allocution du représentant de l’association nationale d’Eysses  – Chant d’Eysses « DEBOUT », par la chorale FA SI LA CHANTER  – entrée dans la prison (dépôt obligatoire d’une pièce d’identité)

Cérémonie devant le Mur des fusillés

 

– Dépôt de terre de Dachau par le Consul Général d’Allemagne, le député M. JL Costes, un ancien résistant d’Eysses déporté à Dachau

– Dépôt de terre de la carrière des fusillés de Châteaubriant

– Dépôts des gerbes

– Chant des partisans  –  Ravivage de la flamme  – Lecture du martyrologue  – Sonnerie aux morts  – Minute de silence  – Marseillaise  passage des autorités devant le Mur

– 12H :  discours et vin d’honneur dans le hall de l’Hôtel de ville

– 13H : repas de clôture au restaurant « La Cale » (25€ tout compris):  s’inscrire avant le 19 février  en appelant Pierre Sarrodie au 05 53 70 71 58, ou par courriel : association@eysses.fr